ce soir, tandis que, comme chaque soir, mes célestes compagnons regardaient le monde des vivants, je décidais, quant à moi, d'aller y faire une petite balade, comme j'aimais le faire. je descendis donc vers ce monde que j'avais quitté depuis des lunes et des lunes. je me trouvais face a une grange imposante. le froid était mordant, et je décidais d'entrer. là, je vis une forme qui se confondait avec l'obscurité ambiante. je l'observais : c'était un chat noir, maigre. soudain, il ouvrit les yeux et me vit...