(désoler xD)
Le solei létait déjà bas dans le ciel quand j'étais étendus sur le sol de roche. La nuit n'allais pas tardé, et je me préparais à la patrouille du soir quand je vis mon chef, Etoile de Leopard, bondir de sa tanière pour acourir dans l'antre de Jolie Flamme. Intrigué, je remarquai son visage paniqué pis me souvint que Fleur de Soupir était là et malade. Je me leva et courru rapidement vers les fourrés où Etoile de Leopard avais disparu.
Etendus sur un lit de mousse, Fleur de Soupir gisait, prète à rejoindre le clan des étoile. Etoile de Leopard était assis juste au dessus d'elle, la tristesse se lisait nettement sur son regard, et je me rendis compte que nous n'étions pas beaucoup. Je vit Rose des Marais s'aprocher, et, quand Fleur de Soupir régurgita, ma cousine mit sa queue sur les yeux de Boule d'Eau et Patte rousse, ses deux chatons. Je m'aprocha d'elle et lui murmurai à l'oreil:
"Pauvre chatte...Je ne l'aimai pas trop, mais elle était loyale. J'éspère qu'elle sera bien acceuilli au Clan des Etoile"
Ma cousine me lanca un regard remplis de sollicitude, surement heureuse que je dise du bien d'un autre. Je remarqua vite que Fleur de Soupir expira une dernière fois, et son flanc ne bougea plus, pour ne plus jamais bouger. Je baissai la tête en signe de reconnaissence, et, quand je vit que notre chef versait quelques larmes, je me rappellai qu'elle était la mère même de notre ancien lieutenent. Je me levai et m'approchai d'Etoile de Leopard, quand ses larmes arrêtèrent de couler.
"Etoile de leopard...Mes plus sincère condoléhences pour Fleur de Soupir. Je sais combien vous êtes liés, et je souhaite que vous vous retrouveriez en rêve. Je suis désoler.
Je m'assis a côté d'elle, et la regardai dans les yeux.
Sans vouloir êtres brusque, je sais que cela va êtres compliqué, mais tu dois élir un nouveau lieutenent pour le clan avant demain a midi. La nuit va êtres longue. Je veillerai sur Fleur de Soupir. Veux-tu venir aussi, où préfère-tu aller dormir?
Bien que je connaissais déjà la réponse, j'attendit celle-ci en regardant la cousine adoré qui posait son museau sur le corps inerte de notre ancien lieutenent, puis se releva, les yeux triste, et me sourit.