Parfois, un seul regard suffis pour unir deux êtres a vie.[PV Etoile d'Ambre]

Le douce Châtaigne était rentrer plus tôt, cette fois, de la chasse. Le Gibier se faisaient de plus en plus abondant et la jeune solitaire voulais laisser ses proies au Clan du Tonnerre. Le fait que sa grotte se situe si près de leur territoires allait surement lui attirer des ennuis, mais en y réfléchissant bien cela n'était pas plus mal.
Châtaigne pris le chemin de la clairière qui entourait la grotte. Une fois a l’intérieure elle s'assit pour admirer cet endroit si magnifique une nouvelle fois. Avant elle errait mais c'était avant d'avoir trouver ce coin de bonheur. Depuis la découverte de cette grotte entourée d'une petite clairière qui était garni de buissons tofus, Châtaigne se sentait enfin chez elle. Elle passa sa tête entre les feuilles du rideau de lierre qui cachait l'entrer de la grotte, et entra doucement dans sa vaste demeure. Elle lapa le creux ou l'eau avait peu a peu stagné, un filet d'eau coulait du haut de la grotte pour aller se perdre dans ce creux formé par l'érosion.
La jeune guerrière au regard Or ressortie dehors et laissa les rayons du soleil réchauffer sa peau. Puis elle sauta au dessus de la grotte pour regarder d'ou venait ce filet d'eau si pure. Elle oublia toute suite ce pourquoi elle était venu quand elle vit Etoile d'Ambre, meneur du Tonnerre. Ses oreilles pointèrent en avant comme si le grand mâle avait trouver une proie.
Mais tout a coup, Châtaigne entendit un bruissement de feuille sur sa droite, elle tourna automatiquement la tête et vit une bête noir sortir d'un buisson, il avait le dos recouvert de deux lignes blanche et de petite yeux marrons très foncé, leur reflet n'était autre que le meneur du Tonnerre. Dans crier gare Châtaigne pris son élan et bondi juste derrière le blaireau, par chance celui ci était trop concentré sur sa proie pour détourner le regard. Etoile d'Ambre fit volte face et quand le regard Or du meneur croisa celui de la Solitaire, Châtaigne ressenti comme un boume au coeur et fit un pas en arrière.

Je me promenai sur mes terres, savourant l'air frais et le calme qui m'envahissait peu à peu. Rien n'aurait pu troubler mon état de tranquillité, du moins le croyais-je avant de percevoir une odeur qui me fit l'effet d'un coup de fouet. Je me campai sur mes pattes, car une grosse bête venait vers moi, noire avec deux bandes blanches sur le dos, et de petits yeux perfides et scrutateurs. Un blaireau !
Mon coeur bondit dans ma poitrine, je me savais incapable de le battre dans un combat singulier, mais peut être pourrais-je l'abattre par la ruse...
J'avais les oreilles pointées en avant, le corps tendu à l'extrême, les griffes sorties, feulant avec rage. Je savais que si je parvenais à le saisir à la base du coup, je pourrais le tuer, mais il me paraissait improbable que l'animal me laisse tranquillement l'égorger.
Je décidai de feinter, et me préparai à bondir, quand une jolie chatte brune sortit de derrière un fourré, pour se poster derrière le blaireau. Je croisai son regard, et mon coeur fit un nouveau bond. Elle semblait si belle, si sûre d'elle ..... mais j'avais peur que le blaireau ne l'attaque, bien que je sache qu'elle pourrait m'offrir la diversion dont j'avais besoin ... le blaireau ne semblait pas avoir perçu sa présence, il était trop concentré sur moi.
Soudain la jeune chatte s'élança, et je fis de même, d'un pas prudent. En un clin d'oeil elle fut sur son dos, lui labourant la chair de ses griffes aiguisées. Je bondis à ce moment là, me concentrant sur mon objectif ; son cou.
Quand je mordis dans la chair tendre, un coût écoeurant de charogne et de poils négligés me saisit à la gorge. Surmontant mon dégoût, je mordis le plus loin possible. Je ne pouvais plus voir la chatte, et j'espérais qu'il n lui était rien arrivé.
Le blaireau secoua violemment la tête, et je faillis lâcher prise. Mais ses soubresauts commençaient à se faire plus faibles, à mesure que le sang chaud s'écoulait pour ruisseler sur mon poitrail. Et soudain l'animal poussa un râle, et s'écroula. Je me demandais ce qui l'avais achevé, et j'espérais qu'il n'était rien arrivé à l'autre chatte. Je lâchai prise, et m'écartai du corps en m'ébrouant, cherchant des yeux une fourrure brune.

(Disons qu'on s'est déjà apperçu et sentit)
La jeune chatte suivis le mouvement du meneur et les deux chats sautèrent sur le blaireau. châtaigne pris d'assaut le dos de l'animale et laissa le cou de la bête au meneur. Celui ci l'attrapa en un coup de dents et tin bon, jusqu'à ce que les soubresauts de la bête ce fassent plus petits et doux pour finalement se stoper net. Le blaireau tomba a terre en un fracas bruyant.
Etoile d'Ambre , dont le poitrail avait pris une tournure ocre, chercha la femelle du regard. Châtaigne avait été projeté dans un buisson lors de la chute du blaireau, mais celle ci se releva sans aucun problèmes, et d'un pas calme revint vers le grand mâle. A ses côtés elle se sentait différente , comme avant, elle avait envie de rire, de plonger son regard terne dans le sien.
Elle reprit ces moyens et fis une gracieuse révérence devant le mâle avant de prononcer d'une voix sure :
-C'est un honneur pour moi de me retrouver face au chef du Clan du tonnerre, je suis Châtaigne une solitaire. Ma grotte se trouve de l'autre côté de ce buissons, j’espère que cela ne dérange pas le Clan du Tonnerre que ma demeure ce trouve si près de leur territoire.

J'aperçut la jolie chatte qui se relevait d'un buisson, apparemment sans mal. Soulagé, je trottais vers elle, et elle s'avança d'un pas calme. J'agitai les oreilles pour la remercier. Elle était très jolie, et en sa présence j'avais envie de rire, j'étais heureux. Toutes ces sensations étaient en contradiction avec mon caractère d'habitude si froid. Il fallait l'avouer : cette jolie chatte ma plaisait.

-C'est un honneur pour moi de me retrouver face au chef du Clan du tonnerre, je suis Châtaigne une solitaire. Ma grotte se trouve de l'autre côté de ce buissons, j’espère que cela ne dérange pas le Clan du Tonnerre que ma demeure ce trouve si près de leur territoire. dit-elle.

Je répondit à sa révérence par un signe de tête, et déclarai :

-Tu t'es bien battue, Châtaigne, et je te remercie. Dorénavant, tu es et tu seras la bienvenue si tu te décide à nous rendre visite, et aucun de mes guerriers n'est autorisé à te faire du mal. La reconnaissance est une vertu importante, et je veillerais à ce qu'elle soit respectée.

Ma voix avait un timbre grave, assuré, et cependant mon coeur battait à toute allure. Le regard qu'elle me lança me fit fondre comme neige au soleil, et je lui adressai un sourire, attiré par ses bouleversants yeux verts, presque aussi pâles que les miens. Puis je demandai, intrigué :

- Il me semble en effet avoir déjà perçu ton odeur. Quand es-tu arrivée ici ? Et d'où viens-tu ?

Un peu gêné, j'entrepris de me nettoyer le poitrail, léchant mes poils souillés de sang de ma langue râpeuse.

Le beau mâle fit un signe de tête avant de déclarer:
-Tu t'es bien battue, Châtaigne, et je te remercie. Dorénavant, tu es et tu seras la bienvenue si tu te décide à nous rendre visite, et aucun de mes guerriers n'est autorisé à te faire du mal. La reconnaissance est une vertu importante, et je veillerais à ce qu'elle soit respectée.
Sa voix envenima la guerrière a tel point qu'elle se laissa porté par les paroles du grand mâle.
Etoile d'Ambre reprit la parole ce qui sorti de sa torpeur la jeune guerrière.
- Il me semble en effet avoir déjà perçu ton odeur. Quand es-tu arrivée ici ? Et d'où viens-tu ?
-Toi aussi tu t'es très bien battus Etoile d'Ambre. Je dois aussi la vie au Clan du Tonnerre et surtout a toi, je n'aurais pas pu battre ce blaireau seule et j'avais depuis peu remarquer que je n'était plus seul a habiter ses lieux ...
Sa phrase resta en suspend , Châtaigne était trop enfui dans le regard Ambre du beau mal. Elle reprit d'une voix calme essayant vainement de cacher son affolement, son coeur battais la chamade quand elle croisait le regard du beau mâle.
-Je vit dans une grotte assez vaste et fraîche, par chance un filet d'eau coule non loin de là et je peux boire directement dans ma grotte. Elle est entourée d'une clairière assez vaste.
Pendant qu'elle disait cela , elle pointa avec sa queue le haut d'une pierre qui se trouvais derrière le buisson d'ou elle avait dévalée.
-Elle se trouve dans ce rocher
Elle réfléchi un instant avant de déclarer ce qu'elle avait vraiment sur le coeur:
-Dans tous les cas, je serai ravi de me battre au côté du Clan du Tonnerre lorsque le temps sera venu.
Elle était plutôt en train d'insinuer qu'elle voulais devenir un alliée du Clan du Tonnerre mais le grand mâle l'avait surement remarqué car il fixait la jeune guerrière d'une manière chaleureuse.

La jolie solitaire m'indiqua qu'elle vivait dans un grotte non loin de là. Elle semblait gênée, rêveuse, et cela m'intrigua, car je devinais que ce n'était pas son véritable caractère. Je n'arrêtais pas de la fixer, et cela dut la mettre mal à l'aise, mais je ne pouvais me résoudre à détourner mon regard, tant elle m'attirait. Je bredouillai :

-Eh bien, .... tu peux passer me voir .... quand tu veux ... et .... je me demandais si .... enfin ....

J'étais honteux de ma gène, et je finis par me taire, tachant de reprendre mes esprits. Quand je me fus calmée, je déclarai avec calme, essayant de ne pas faire transparaître mes sentiments dans ma voix :

- Si tu veux venir chasser avec moi.

Dans mes yeux brillait une lueur d'espoir qui était destinée à Châtaigne. J'attendis sa réaction.

[Alors alors, au début on est les meilleurs amis du monde ^^, pour finir ensemble )
Le mâle mit du temps a répondre mais une fois sur de lui il déclara :
-Eh bien, .... tu peux passer me voir .... quand tu veux ... et .... je me demandais si .... enfin ....
La jeune solitaire fut rassurée, elle n'était pas la seule a être mal-alaise. Elle lui sourit, son ancien caractère refaisait surface, l'ancienne Châtaigne revenait face a ce grand mâle si beau...si parfait, ses traits comme dessiner par le Clan des Etoiles en personne, son regard façonné a la manière des étoiles.

Du haut de la Toison Argentée:

Minouchette déclara a ses chatons:
Mes enfants! Regarder Châtaigne, elle est revenu! Je souhaite qu'un de vous lui face passer un message, Lo'm tu sera responsable de cette tâche.
Le chat brun fit un signe de tête avant de sauter sur une étoile pour aller préparer sa venu sur terre .
Le chat déclara une fois son ton de voix calmée:
- Si tu veux venir chasser avec moi.
La jeune chatte laissa ces paroles la portée jusqu'à ce qu'elle se rende compte de ce que le beau mâle venait de déclarer.
-C'est avec plaisir que je chasserai aux coté du Clan du Tonnerre. Mais c'est une immense joie de chasser aux côtés de son meneur!
Elle pris la direction des Pins qui entourais la Grotte, la clairière et le dernière de la grotte ou ils se trouvaient.

-C'est avec plaisir que je chasserai aux coté du Clan du Tonnerre. Mais c'est une immense joie de chasser aux côtés de son meneur!

La joie s'empara de mon coeur quand j'entendis sa réponse, et je la regardai avec des yeux brillants. Puis, certain qu'elle allait me suivre, je m'élançai dans la forêt, avec bonne humeur. J'étais heureux.
Au bout de quelques minutes de couse effréné, je ralentis progressivement, afin de me couler dans le calme de la nature, puis je m'arrêtai finalement, un peu essoufflé. Je me tournai vers Châtaigne, qui ne semblait pas très fatiguée (elle était sûrement bien plus endurante que moi ...), et la regardai avec amour. J'attendis sa réaction.

Le grand mâle semblait satisfait et parti dans une course effrénée, mais Châtaigne sentit que le souffle du mâle devenait plus faible et pour finir le meneur s'arrêta. Châtaigne, elle, était en plein forme et aurait pour courir des miles, mais préférait plus que tout rester au près de l'élu de son coeur, car oui, il fallait l'avouer: elle était irrésistiblement et profondément attirée par lui. Son coeur fit un bon quand le mâle lui adressa un regard plus que remplit de tendresse. Elle essaya vainement de détourner le regard pour ne pas se perdre dans cette immense prairie de bonheur qui occupait les yeux du meneur du Tonnerre.
Au bout de plusieurs tentatives loupées elle se résigna a prendre la parole:
-J'ai repérer un terrier de lapins plus loin dans la foret...
Sans attendre la réponse elle prit la direction du centre de la foret, là ou,2 jours plus tôt elle avait sentit le terrier encore plein .

Elle me rendit mon regard. J'avais l'impression qu'elle tentait de détourner les yeux, mais elle ne semblait pas y parvenir. Pour ma part, je savais que je n'y arriverais pas. Elle m'indiqua qu'elle avait repéré un terrier de lapin. J'acquiesçai avec vigueur, mais elle n'attendait visiblement pas de réponse, aussi la suivis-je jusqu'à ses proies.

Quand nous arrivâmes près du terrier, une odeur de lapin dodu me parvint, et je sentis l'eau me venir à la bouche. Je regardai Châtaigne d'un oeil brillant, lui faisant comprendre que j'avais repéré le gibier, et que j'allais me poster près du terrier, si elle me cédait le début de ce qui promettait d'être une belle chasse. Les muscles tendus, les oreilles ouvertes, les yeux vifs, tout mon corps laissait voir ma concentration.

Le mâle fit signe a la Solitaire que le moment était venu, Châtaigne se plaça dans un buisson et n'entendit q'un bruit de lutte et un grand silence, elle s'élança quand elle vit un lapin lui passer sous le nez, a chaque foulées, ses pattes devenait plus grande, son train était de plus en plus rapide, ses yeux fixait la bête qui semblait se rapprocher de plus en plus des pattes avants de Châtaigne. Celle ci sauta sur la bestiole grise... Les deux bête roulèrent a terre. Une fois debout le lapin était déjà mort, sa tête pendait lourdement sur le côté et un filet de sang coulait de son oreille droite.
La solitaire repartit en trotinant vers le terrier pour voir ou en était le meneur.
[DSL pas d'inspi ..]

Je m'étais plaqué au sol, derrière le terrier encore plein, face au vent. Je ne faisait aucun bruit, attendant le moment propice, quand un lapin pointa le bout de son museau. Je me jetai sur lui en feulant espérant lui faire peur pour qu'il se dirige droit vers Châtaigne. Cette stratégie marcha. Le lapin détala en direction des fourrés, et quelques minutes plus tard je vis la tête la la solitaire apparaître dans les broussailles, me regardant avec curiosité. M'étant assuré qu'elle avait bien attrapé le lapin, je me mit à sentir le terrier, percevant une odeur d'une multitude de petites vies chaudes. *Ses bébés !*pensais-je. Je me mit à creuser avec frénésie, grattant le sol de mes griffes effilées. Du trou sortirent alors des petits piaulements effrayés. L'odeur de chaleur et de chair tendre m'emplit les narines, et je sentis mon estomac gargouiller. J'attendais que Châtaigne me rejoigne, pour que nous puissions partager ensemble ce festin.

Les petits du lapin avait pointés leur petit nez en dehors du terrier, Châtaigne compris que le mâle voulait les chasser, un sourire passa sur ses lèvres, elle releva la tête bombant le torse et respirant a pleins poumons avant de déposer le gros lapin au pied du grand mâle :
-Prend le, le Clan du Tonnerre en a plus besoin que moi, j'ai déjà beaucoup de proies en réserve et c'est déjà un privilège de pouvoir vivre si près de vos terres
L'odeur si brut et habile di grand mâle vint remplir les narines de Châtaigne d'un amour presque plus grand que le Clan des Etoiles, ce mal voudrait il d'elle? L'aimait il comme elle l'aimait ? * Je sois d'abord devenir un des ses meilleurs amis ! *

[Dsl je suis super préssée ...pas d'idée]

Je m'empressai d'achever les lapereaux, tout en remerciant le clan des Etoiles de ce don, qui permettrait de nourrir une bonne partie de mon clan. Je me tournai vers Châtaigne, et crus apercevoir une lueur de tendresse dans son regard émeraude. cela me réchauffa le coeur, et d'un coup une grande peur de prit au coeur, à l'idée, qu'elle aimait peut être déjà un autre chat. Je devais m'avouer qu'elle me plaisait beaucoup. Elle dit :

-Prend le, le Clan du Tonnerre en a plus besoin que moi, j'ai déjà beaucoup de proies en réserve et c'est déjà un privilège de pouvoir vivre si près de vos terres

Je m'apprêtai à refuser ce don, quand je vis dans son regard de l'obstination. Elle devait sans doute être aussi butée que moi, car j'avais l'impression qu'elle me correspondait. Soucieux de ne pas la froisser, je répondis :

-D'accord, mais alors prends un lapereau pour toi. Je ne peux pas te laisser affamée, et ils seront certainement très bons.

Je scrutai son visage, attendant sa réponse, et ne me lassant pas de me gorger de l'image de celle qui avait conquis mon coeur.

D'accord, mais alors prends un lapereau pour toi. Je ne peux pas te laisser affamée, et ils seront certainement très bons.
La jeune solitaire sourit avant de lever les yeux au ciel, le soleil était descendu très bas et a son plus grand regret elle devait quitté le meneur de son coeur, malheureusement il était aussi le meneur du Tonnerre. Elle hésita un instant a lui avoué ce qu'elle ressentait mais elle garda cela au plus profond de son coeur, le simple fait d'être au près de lui était suffisant pour le moment. Elle s'inclina.
-Merci, je dois malheureusement y aller, j’espère de tout mon coeur que l'ont se révéra dans très peu de temps, si tu as besoin d'aide n'hésite pas a venir me voir. Je me ferai une joie de t'aider.
Elle s'approcha timidement du grand mâle et pris son courage a deux pattes avant de lui donner un coup de langue amical entre les deux oreilles. Sur ce elle repartis au petit trot le lapineau dans la gueule qu'elle plaça dans son buisson de provisions.

Châtaigne, après avoir accepté mon présent, déclara :

-Merci, je dois malheureusement y aller, j’espère de tout mon coeur que l'ont se révéra dans très peu de temps, si tu as besoin d'aide n'hésite pas a venir me voir. Je me ferai une joie de t'aider.

Puis elle s'approcha timidement, et me donna un coup de langue amical entre les oreilles. Ce geste simple me remplit de bonheur, et, plein d'amour, je la regardai s'éloigner, profitant juste de cette vision de la jolie solitaire qui, en quelques minutes, m'avait conquis.
Je restai plusieurs minutes assis dans la neige, après le départ de la jolie chatte, réfléchissant. Cet amour me semblait bien compromis. D'abord, le fait qu'elle ait les mêmes sentiments que moi était on ne peut plus improbables. Et puis, c'était une solitaire. Que penserait le clan ? Je décidai de laisser ces questions de côté, estimant que le temps aiderait sans doute plus que de vaines réflexions. Je me levai, attrapai les deux lapereaux restant ainsi que leur mère, et rentrai d'un pas tranquille au camp. Mais je me fis une promesse : ce coin resterait mon principal endroit de chasse.

Fin

Faut qu'on en fasse un autre sa gère trop

Ouiiii C'est ou tu veux et quand tu veux ...^^


FIN